Echeveria secunda
Description (by M. Kimnach in IHSP, 2003) :
Stem usually < 5 cm long, ± 1 cm in diameter, branching.
Rosette 5 – 10 (-15) cm in diameter.
Leaves cuneate-obovate, obtuse to truncate, mucronate, 2 – 5 (-8) x 1,5 – 3 (- 4,5) cm, ± 5 mm thick, margins thin to obtuse, blue-glaucous.
Inflorescences a cincinnus, 30 (-40) cm, pedicels 4 – 15 mm.
Flowers : Sepals ascending to spreading, corolla pentagonal with channelled sides (8-) 10 – 11 (-13) x 7 – 8 mm in diameter near the base, 5 – 6 mm in diameter at the mouth, orange-red to deep pink.
Cytology : n = 30, 32
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Synonymes :
Cotyledon secunda (Booth) Baker (1869)
Echeveria pumila Van Houtte (1846) / Cotyledon pumila (Van Houtte) Baker (1869) / Echeveria secunda var. pumila (Van Houtte) Otto (1873) / Echeveria glauca var. pumila (Van Houtte) von Poellnitz (1936)
Echeveria spilota Kunze (1953)
Cotyledon glauca Baker (1869) / Echeveria secunda var. glauca (Baker) Otto (1873) / Echeveria glauca (Baker) Morren (1874) / Echeveria pumila var. glauca (Baker) E. Walther (1972)
Echeveria alpina E. Walther (1935)
Echeveria elatior E. Walther (1935)
Echeveria cornuta E. Walther (1972)
Echeveria reglensis E. Walther (1972)
Série Secundae
Distribution : Mexique (Hidalgo, Guanajuato, District Fédéral, Puebla, México, Tlaxcala, Queretaro).
Tige habituellement < 5 cm de long, ± 1 cm de diamètre, ramifiée.
Rosette 5 – 10 (-15) cm de diamètre.
Feuilles cunées-obovales, obtuses à tronquées, mucronées, 2 – 5 (-8) x 1,5 – 3 (- 4,5) cm, ± 5 mm d'épaisseur, marges fines à obtuses, bleu glauque.
Inflorescence : Une cyme scorpioïde de 30 (-40) cm, pédicelles : 4 – 15 mm.
Fleurs : Sépales droits à écartés, corolle pentagonale et cannelée (8-) 10 – 11 (-13) x 7 – 8 mm de diamètre près de la base, 5 – 6 mm de diamètre à l'ouverture, orange-rouge à rose vif.
Cytologie : n = 30, 32
Distribuée par ISI n°178 (1958) en tant qu'E. pumila,
- ISI n°418 (1963), de façon erronée sous le nom E. alpina
- et ISI n° 2001-30 comme E. secunda.
Note :
Charles Uhl écrit (Haseltonia, 1995) : « Walther (1972) distingua plusieurs espèces de cette série Secundae par des différences de taille et de forme de feuille. Cependant, Moran (1972) expliqua pourquoi il combina certaines d'entre elles avec E. secunda : il nota que beaucoup de plantes, parfois au sein d'une même population, sont intermédiaires, et ces différences semblent insuffisantes ou pas assez consistantes pour justifier autant d'espèces. Je considère E. secunda comme une seule et variable espèce... ».